Mesdames,
Messieurs,
Ces
dernières lignes pour faciliter votre prise de décision.
Très bonne lecture.
Episode
6/6 :
Autres remarques et interrogations
Pourquoi les salariés
seraient-ils les seuls à faire les frais des dysfonctionnements de la CMAR
BN ?
Document complet en pièce jointe :
https://drive.google.com/file/d/0B53ks5rdvD2Fb0JFbEVaQUp1U2c/edit?usp=sharing
Document complet en pièce jointe :
https://drive.google.com/file/d/0B53ks5rdvD2Fb0JFbEVaQUp1U2c/edit?usp=sharing
"les provisions pour les dédommagements ou les réintégrations en cas de recours". Oui,oui oui, ça va coûter un max ! ! !
RépondreSupprimerles décisions prisent à la "CMAR" se font sur l'oreiller !!!
RépondreSupprimerçà aussi cela nous coute cher !!!
pourquoi les 3 délégués syndicaux n’ont pas l’autorisation d’assister à l’assemblée générale de lundi ???
RépondreSupprimeron bafoue nos libertés !!!
arguments sans appel.
RépondreSupprimerJe suis un collaborateur dégouté...
Pourquoi ce changement de position quant à la présence des syndicats lors de l'AG ? Le manque de transparence est une mauvaise habitude dans l’établissement, source de spéculation et de rumeur !! Peut-être des choses à cacher ? Peut-être la peur de devoir justifier son vote ? C’est regrettable ; le courage politique est une qualité en voie de disparition !!
RépondreSupprimerSurtout qu'il y a plein de choses pas réglos (une fois de plus !) dans ces façons de supprimer les postes !!! Des critères qui ne tiennent pas la route et qui vont encore coûter bien cher à la Chambre !
RépondreSupprimerLe personnel est très inquiet de ce management d’une consternante versatilité, (1 organigramme différent chaque année dont l’impact sur l’organisation des services et le climat social ne sont pas des moindres). Le personnel a accepté ses changements sans se plaindre malgré un manque d’information et de communication. L’économie actuelle n’est certes pas favorable, mais aucune réflexion approfondie n’a été engagée pour amoindrir ses effets.Primo, la proposition initiale est : on licencie. Secondo, après on réfléchira à un certain nombre de transferts, mais à ce stade là… (page 19 du compte rendu de la CPL du 28 octobre 2013). Devant aussi peu de réflexion, d’anticipation, et de communication, il est évident que nous en soyons arrivés là. Il est vraiment légitime que le personnel soit inquiet. Car, rien dans l’avenir n’annonce un changement significatif dans l’attitude actuelle des décideurs. On ne manœuvre pas un navire comme une barque, la responsabilité du capitaine n’est plus de 20 mais 200 matelots, si le navire coule, c’est le naufrage pour tous sans « bouées de sauvetage !!! ». Il est légitime que le personnel soit très inquiet de leur devenir et celle de la Chambre.J’ose espérer qu’au moins les élus, pour montrer leur participation morale et financière aux difficultés de ces 3 dernières années, auront la décence de refuser de consommer du champagne ou de diner dans un restaurant gastronomique après les futurs bureaux ou AG.
RépondreSupprimerIl est évident que c'est une chasse aux sorcières ces licenciements ! et pas un plan de redressement !
RépondreSupprimerLe navire coule normalement...les cales sont en train de céder...
La période est difficile, les nerfs à rude épreuve : est-ce une raison pour tout s'autoriser ? Notamment s'accorder la liberté d'accuser à tort (et surtout à travers) de propres agents de la CMAR (je n'utilise volontairement pas le terme de "collaborateurs") d'avoir eux-mêmes proposés ou fait en sorte que certaines personnes soient prioritairement inscrites sur cette liste. Au cours des épisodes décrits, il a été évoqué le manque de cohésion entre les élus. Et nous alors ? Elle est où notre solidarité quand les attaques et les propos injustifiés sont proférés au quotidien ? La défense du personnel marcherait-elle pour certains et pas pour d'autres ? Dans ce climat délétère, qui donne donc une excellente occasion de régler ses comptes, semble montrer que le curseur de la solidarité n'a qu'un sens de fonctionnement.
RépondreSupprimerpouvez vous expliquer : vous voulez dire que les listes ont été faites par des collègues très proches des personnes licenciées et non pas pour des motifs économiques. la chasse aux sorcières ? c'est cela ?
SupprimerMerci
SupprimerIl est évident qu'aucun mouvement de défense ou de protestation ne peut recueillir 100% d'adhésion. Les quelques personnes qui ont tiré parti de la situation ou qui envisagent de le faire ne savent pas comment se positionner. C'est bien normal.
SupprimerCe n'est pas vous qui avez créé cette situation, vous en êtes aussi la victime.
Certains peuvent souffrir parce qu'on ne leur a pas dit bonjour. D'autres vont souffrir parce qu'ils vont tout simplement être virés lundi. Chacun apprécie le curseur de la solidarité en son âme et conscience.
vous êtes de quel bord ?? votre discours est incohérent. double jeu ?!
Supprimerde quel bord êtes vous ? votre message est incohérent : vous jouez le double jeu ?
Supprimermerci de préciser cette phrase :" les attaques et les propos injustifiés sont proférés au quotidien ?" Je ne comprend. Qui attaque qui et sur quel sujet?
SupprimerMessieurs et Mesdames les élus,
RépondreSupprimerVous êtes tous chefs d'entreprise, et pour certains depuis de nombreuses années. Vous avez peut-être traversé des périodes difficiles, et surement adapté vos décisions et actions de façon réfléchie, avec des données et des prévisions.
Aujourd'hui à la CMAR-BN, nous sommes dans une période historiquement critique. Pourquoi et comment en sommes-nous arrivés là ? Ne pensez vous pas que la Direction y est pour quelque chose ? Prenez du recul, le rapport de l'IGF est là pour vous aider ! C'est honteux de décider de licencier et de voir après ce qu'on fera ! De cette façon, on ne peut qu'aller droit dans le mur ! Une autre vague de licenciements dans quelques mois, puis cessation de paiement...
Sincères condoléances
La véritable solidarité aurait tenté d'apaiser une situation devenue insurmontable en essayant de trouver des solutions. Des accusations proférées entres collègues sont si fortes, qu'elles entraînent un sursaut de l'opinion. Finalement, très petit est le cercle des initiés sur les véritables intentions...
RépondreSupprimerLe but était de refuser les licenciements et non pas de se transformer en jury populaire !!!!
C’est la stupeur, mêlée de furie vindicative. Ces réactions cachent mal le malaise que le coup porté par ces accusations ne manque pas d'installer
Pourquoi il n'y aura ni délégué syndicaux, ni personnel CMAR à l'AG ?
RépondreSupprimerCar il faut que ça se fasse en catimini ! C'est sans doute la peur que des choses dérangeantes soient dites en AG : le plan de licenciement bien sûr mais aussi d'autres choses... Elles ressortiront de toute façon.
Depuis le début, la Direction cherche à maîtriser la communication au maximum en cloisonnant les services, en centralisant l'information, en utilisant des situations personnelles pour manipuler, en déstabilisant, etc. On sait bien que contrôler la communication, c'est avoir le pouvoir.
Les salariés sont touchés dans leur chair, 12 des leurs sont au pilori et on va juger de leur sort lundi prochain.
Il faut que les salariés se fassent entendre. Il y a quelques semaines, les 7 pressentis sur la liste sont allés accompagner les délégués syndicaux voir le Président de la CMAR-BN. Il ont été suivi spontanément par plus de 40 collègues. Le Président n'a pas pu faire autrement que d'entendre des vérités. Le ras le bol qu'on a tous se fera ressentir aussi lundi.
Mais est-ce que ce sera suffisant ? Si la Gouvernance continue d'être sourde, il faut qu'on s'adresse aux artisans et aux parents des jeunes que nous accueillons. Aussi La presse, tout le monde quoi !
^^ Voici un 'post' qui relève le niveau et qui dit est 100% dans le V-R-A-I !!!
SupprimerElus, et responsables, relisez bien le commentaire ci-dessus du 30 novembre 2013 10:36
TOUT ressortira de TOUTE façon !
Aucun responsable à l'AG car il ne faut pas qu'ils aient la parole. Trop risqué, ils ont des arguments de poids qui pourraient fragiliser l'argumentation de la Direction.
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